Dernière mise à jour le 30 juillet 2024
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !
Vous souhaitez créer votre entreprise ou êtes déjà entrepreneur et vous voulez des astuces comptables ?
Inscrivez-vous à notre Newsletter pour ne rien rater de nos événements, nos conseils, et bien plus encore ! S’inscrire
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !
Contexte : Grace Shalhoub est l’une des freelances de notre cabinet d’expertise lyonnais Numbr. Nous avons sollicité Grace pour une interview afin qu’elle puisse nous partager son retour d’expérience sur son métier de freelance. Merci Grace d’avoir répondu à nos questions !
Qui êtes-vous ?
Je m’appelle Grace Shalhoub, je suis traductrice spécialisée dans deux domaines qui me passionnent : le droit et l’ingénierie.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai commencé ma carrière au sein d’un bureau d’ingénierie international qui m’a recrutée après un stage de fin d’études en traduction technique. La terminologie de l’ingénierie environnementale à l’échelle mondiale, les problématiques de l’eau potable en milieu rural en Afrique, les industries pétrolières en Asie et les déchets radioactifs en Europe n’avaient plus de secret pour moi.
Je travaillais avec des ingénieurs au quotidien, mais également avec les départements juridiques du groupe et j’ai pu découvrir le droit des affaires et les contentieux industriels.
Après 5 ans de CDI, je me suis lancée à mon compte et gardé ces deux spécialités.
En janvier 2017, j’ai prêté serment à la cour d’appel de Paris et une nouvelle spécialité en droit pénal international venait compléter ce parcours.
Pourquoi cette spécialité ?
Le fait d’avoir vécu dans plusieurs pays a sûrement façonné mon identité et éveillé ma curiosité. Un rêve d’enfant, tout simplement. C’était une évidence, même après un bac scientifique.
Comment aidez-vous les entrepreneurs / entreprises au quotidien ?
J’accompagne les entreprises françaises de toute taille qui travaillent à l’étranger, que ce soit sur le plan juridique ou technique. Je traduis leurs contrats, documents financiers, stratégie commerciale, site internet, rapports techniques, appels d’offres, etc.
Comment trouvez-vous vos clients & qui sont-ils ?
En ce qui concerne la traduction juridique, mes clients sont des avocats (et leurs clients), des notaires, des particuliers qui ont des procédures pénales ou civiles en France ou à l’étranger. Et surtout, je travaille beaucoup avec les tribunaux de par mon assermentation. Je figure sur des listes et annuaires officiels, disponibles sur internet et dans les préfectures/mairies/tribunaux.
Pour la traduction technique, mes clients sont des bureaux d’études français, des PME, des consultants indépendants. Le bouche-à-oreille dans ce domaine a pu faire ses preuves.
Travaillez-vous de chez vous, dans un espace de coworking, dans vos bureaux ?
Je travaille souvent chez moi, mais je fréquente les espaces de coworking occasionnellement. J’ai également un bureau à Paris que je partage avec une collègue hispanophone.
Quelles sont selon vous les principales qualités à avoir pour être un indépendant / freelance ?
Être très organisé, et passionné par son métier. Des qualités relationnelles et une aisance à l’écrit comme à l’oral, c’est un plus !
Qu’est-ce que vous aimez le moins en tant qu’indépendant ?
On se retrouve à faire un peu de compta, un peu de marketing, un peu de commercial, beaucoup d’administratif, des devis et des factures, cela prend du temps et n’est pas toujours intéressant.
Quels sont les outils qui vous facilitent la vie au quotidien ?
Tiime pour tout annoter et rien oublier. En plus, j’utilise des outils liés à mon métier, pour gérer la terminologie et glossaires multilingues de mes clients et les grands projets de traduction.
Quels seraient vos conseils pour ceux qui souhaitent se lancer à leur compte ?
Se lancer de manière réfléchie, avoir ses premiers clients avant de quitter son CDI. Et croire en votre projet. C’est le vôtre…
Encore merci Grace pour cette interview. Pour retrouver Grace vous pouvez visiter son site internet ou parcourir les réseaux sociaux !